Nathalie BERTHET

Je veux vous mettre au défi d’être vraiment conscient de vous-même aujourd’hui…

Chaque fois que vous devez prendre une décision aujourd’hui – et les jours à venir -, je veux que vous vous arrêtiez et que vous vous posiez d’abord une question…

1. « Si je prenais cette décision avec confiance ou par sentiment d’abondance, que choisirais-je de faire ? »

Si souvent, nous choisissons par peur et par sentiment de manque, et je vous promets que lorsque vous choisissez à partir de ces sentiments, vous vous dirigez sur le mauvais chemin…

Permettez-moi d’être clair…

Je sais qu’il y a des moments où tout ce que nous voyons est le manque et tout ce que nous ressentons est la peur, et je vous mets au défi de simplement regarder quelles autres options vous avez lorsque vous prenez des décisions. […]  Lire la suite

N’avez vous jamais eu un souvenir fugace de la façon dont vous vous sentiez quand vous étiez enfant ? Cette incroyable sensation de liberté et de passion pour essayer de nouvelles choses ? La vie semblait tellement excitante non ?

Pourquoi devons nous bannir le mot « Non »

Qu’est-il arrivé à votre passion ? Votre confiance? Le processus de vieillissement les a-t-il volé ? Probablement pas; le coupable le plus probable est un esprit confus. Si vous êtes comme la plupart d’entre nous, vous avez été frappé de plein fouet par plusieurs milliers de « non » entre 2 et 5 ans. A chaque fois que vous vouliez essayer de nouvelles choses et apprendre, le mot que vous avez le plus entendu était « NON! ».

Certains de ces « Non » étaient pour votre propre bien et sécurité, mais parfois, ils étaient purement arbitraires. Ce barrage implacable de « Non » à commencé à limiter votre esprit curieux et vous avez vous-même commencé à imiter vos parents en leur assenant quelques « Non » arbitraires.

Le puissance du « Oui »

Il est temps de s’élever. Il est temps de retrouvez notre passion et dire « OUI! » À la vie. Mais cela nécessite de dire « NON! » à toutes ces négations qui hurlent encore dans notre esprit.

Quand vous dites « OUI, » de belles choses se produisent. Tout comme le scintillement d’un diamant ne peut se trouver ailleurs que dans un diamant,  l’éclat de la passion et la confiance ne peuvent se trouver ailleurs qu’en vous.

Toute souffrance est causée par la non-acceptation de quelque chose. Cela peut être une pensée, un sentiment, une émotion ou une situation. Vous souffrez quand vous voulez que les choses soient différentes de ce qu’elles sont. Ce à quoi vous résistez persiste dirait Carl Jung

La plupart du temps, ce n’est pas l’expérience elle-même qui est douloureuse, mais plutôt la résistance à cette expérience. La façon dont vous étiquetez l’expérience détermine la façon dont vous vous sentez.

Nous sommes conditionnés dès notre plus jeune âge à qualifier nos expériences comme bonnes ou mauvaises. Ainsi, si vous vous sentez déprimé, votre esprit va inconsciemment étiqueter ce sentiment comme « mauvais ».

En l’absence d’étiquetage, c’est tout simplement un sentiment … vous seriez peut être mal à l’aise, mais cela ne serait pas un problème en soi. Il n’y a rien de « mal » à avoir un sentiment de tristesse … à moins que l’esprit le dit.

 

Par habitude également, l’esprit ca également associer quelque chose comme la cause de cette sensation … un(e) ami(e), le travail, la météo…

Les gens conscients éprouvent les mêmes pensées et sentiments que les autres. La seule différence est qu’ils reconnaissent qu’il n’y a rien de « mauvais » avec le sentiment d’être là. Qu’il n’y a rien de personnel … les sentiments apparaissent simplement par eux-mêmes.

La clé pour trouver la paix intérieure est de prendre conscience de tout ce à quoi vous résistez et de faire le choix conscient de garder les choses simples, comme elles le sont déjà.

Essayez de dire OUI! à chaque expérience de la vie et vous éliminerez la possibilité de souffrir. Offrez consciemment aucune résistance.

 

S’il est vrai que ce à quoi vous résistez persiste, le contraire est également vrai … à savoir que ce à quoi vous ne résistez pas se disperse.

Les états négatifs persistent parce que nous leur donnons l’importance et l’énergie pour le faire. Lorsque nous n’offrons aucune résistance, ils se fanent et disparaissent d’eux mêmes.

Dites OUI à chaque situation, dites OUI à la vie.

Combien d’efforts faut-il faire pour égayer la journée de quelqu’un ? Comme vous pourriez vous en douter… il n’en faut pas beaucoup.

Cette semaine encore, j’ai pu voir des gens avoir ce supplément de bonheur en recevant un simple emails, un appel téléphonique, un petit cadeau inattendu…

Il y a beaucoup de moyens faciles d’apporter un peu de soleil dans la journée de quelqu’un. Les possibilités sont infinies, et la plupart d’entre elles ont coût monétaire très faible. Elles demandent juste un peu de temps.

Les candidats évidents « faciles » sont la correspondance – e-mails, appels téléphoniques, lettres, cartes postales, etc. Mais si vous avez un peu plus de temps qu’un appel téléphonique ou un courriel, vous pourriez envisager de tondre la pelouse d’un voisin, déneiger leur allée ou donner un coup de râteau sur leurs feuilles pendant que vous êtes les vôtres. Comme vous le voyez, les possibilités sont infinies et les coûts sont minimes.

Coûts minimes, effets énormes

Même si ces choses ne coûtent pas beaucoup d’argent ou de temps, elles ont le pouvoir de créer un véritable « effet domino » positif.

Avez-vous déjà connu des jours où tout semblait mal commencer ? Peut-être n’y avait-il plus d’eau chaude pour la douche. Plus de café ou vous vous êtes réveillé tard et vous n’aviez plus le temps de déjeuner. Peut-être que vous étiez en retard au travail suite à un bouchon sur la route. Si vous avez déjà connu ce phénomène, vous savez à quelle vitesse la spirale peut descendre à partir d’un simple événement, apparemment sans signification.

Faire quelque chose de gentil pour quelqu’un d’autre est l’occasion d’inverser cet effet domino négatif à la fois pour celui qui en bénéficie que pour celui qui le donne. Après tout, même si le journée de travail n’est pas terrible, recevoir un bel email ou rentrer et s’apercevoir que la pelouse à été tondue peut faire la différence.

À mon avis, un des plus grands maux de la société moderne est la notion que nous sommes impuissants. Que nous ne pouvons rien faire pour changer la façon dont les choses se produisent. Que nous sommes coincés dans notre situation.

Je crois fermement que ces petits actes de bonté sont une énorme opportunité pour nous de repousser nos limites. Qu’il s’agisse d’une carte d’anniversaire pour un étranger, une pelouse tondue pour un voisin, une assiette de biscuits pour un collègue ou un e-mail à un ami, chacun de nous a à notre disposition la possibilité d’augmenter le montant total de bonheur dans le monde.

C’est ici, en ce moment, en face de nous. La seule question est, que ferons-nous avec cette possibilité ?

Une des nombreuses leçons que j’ai apprises au fil des années est de laisser aller cette « nécessité » de toujours me plaindre des choses que je n’aime pas, des personnes qui agissent d’une manière que je trouve désagréable; de laisser aller cette « nécessité » de me plaindre sur les événements passés et les situations actuelles.

J’ai appris que mon esprit peut jouer en ma faveur mais aussi jouer contre moi. Dès lors, j’ai appris à ne pas croire tout ce que je  pouvais penser.

J’ai appris à m’éloigner des choses qui me rendent triste, des choses que je n’aime pas pour aller vers les choses que j’aime. Tout en apprenant à éloigner mon attention de ce qui est négatif, de ce que je n’aime pas et ce que je ne veux pas pour me rapprocher du positif, de ce que j’aime et ce que je veux, j’ai appris beaucoup de chose sur l’une des clés du bonheur, et comment l’atteindre.

Les pensées ont un pouvoir, une grande puissance, une puissance créatrice et, si vous parvenez à « former » votre esprit à travailler pour vous et non contre vous, vous trouverez le bonheur.
Je pense qu’il est très important de comprendre que nous sommes aujourd’hui la où nos pensées nous ont emmené. Et nous serons demain là où nos pensées nous emmèneront.

 

Il y a une vieille histoire relativement connue d’un fermier chinois qui labourait ses champs avec un vieux cheval. Un jour, ce cheval s’est échappé dans les collines et, quand tous les voisins du fermier essayèrent de le réconforter, le fermier répondit « Est-ce un bien ? Est-ce un mal ? Qui sait ? »

Une semaine plus tard, le cheval revint avec un troupeau de chevaux sauvages. Cette fois, les voisins sont venu féliciter le fermier pour la chance qu’il a eu. Sa réponse a été: « Est-ce un bien ? Est-ce un mal ? Qui sait ? »

Un jour, le fils du fermier a essayé de dompter un des chevaux sauvages, il est tombé sur son dos et se cassa la jambe. Tout le monde pensait que cela n’était pas une bonne chose. La seule réaction du fermier était « Est-ce un bien ? Est-ce un mal ? Qui sait ? »

Quelques semaines plus tard, l’armée entra dans le village et a mobilisé tous les jeunes hommes valides qu’ils y ont trouvées pour aller faire la guerre. Ils n’ont pas retenu le fils du fermier à cause de sa jambe cassée. Est-ce un bien ? Est-ce un mal ? Qui peut le savoir ?

Il est impossible de dire qu’une chose est bonne ou mauvaise. Nous ne pouvons pas savoir les conséquences de tel ou tel événement

J’ai quelques questions importantes pour vous… 

• De quoi avez-vous peur?
• Quand vous ressentez de la peur, de quoi s’agit-il?
• Quel doute vous empoigne et ne vous lâche pas?

Nous avons tous des peurs et des doutes, mais j’ai un secret pour vous…

Vos peurs et vos doutes peuvent sembler concerner différentes choses, mais lorsque vous les décomposez vraiment, ce sont presque toutes les mêmes peurs et ces peurs sont les mêmes depuis aussi longtemps que vous ressentez la peur.

Faites cet exercice et vous comprendrez…

• Notez vos 3 principales peurs actuelles.
• Maintenant, regardez ces peurs et demandez-vous ceci :

J’ai peur que (peu importe ce dont vous avez peur), mais ce dont j’ai vraiment peur, c’est que (quoi que vous ayez peur) signifie que je __________ […]  Lire la suite

Laissez-moi vous poser une question :

Que croyez-vous de vous-même?

Les croyances qui ne sont pas fondées sur la vérité – comme:

• Je ne suis pas une personne du matin
• Je ne suis pas artistique
• Je ne suis pas doué pour les chiffres
• Je suis toujours en retard
• Je ne suis pas créatif
• Je ne suis pas assez intelligent
• Je n’ai pas de chance

Ce ne sont que des croyances… Elles ne sont pas réelles et elles peuvent changer à tout moment!

Le défi se pose si nous sommes prêts à laisser ces fausses définitions de nous-mêmes changer ?

Regardez les croyances que vous avez et demandez-vous lesquelles sont alignées avec qui vous voulez être et lesquelles ne le sont pas…

Et pour celles qui ne le sont pas, posez-vous ces deux questions: […]  Lire la suite

Vous ne pouvez peut-être pas faire l’impossible. Mais vous ne le saurez jamais avec certitude à moins que vous n’essayiez.

L’histoire, peut-être même certaines de vos réalisations, est remplie d’exemples de l’impossible devenu possible. 

Les gens essaient et parfois ils réussissent.

Vous pouvez – ou non – réaliser l’impossible. Mais ce qui est certain est que, sur le chemin, vous ferez des progrès assez impressionnants.

Plus le défi est élevé, plus vous gagnerez en force, en habileté, en compétence et en persévérance.  […]  Lire la suite

Laissez moi vous parler d’une expérience scientifique qui peut expliquer beaucoup de choses sur notre société et son effet sur le comportement personnel.

Au début de l’expérience, un certain nombre de puces ont été placées dans un bocal. La réaction naturelle des puces est de sauter. Après cela, un couvercle est placée sur le dessus du pot. Les puces touchent le couvercle et retombent dans le bocal. Après un court moment, les puces ajustent les forces et commencent à sauter de moins en moins haut jusqu’à ce qu’elles ne touchent plus le couvercle.

Après plusieurs jours, le couvercle est enlevé. Les puces qui avaient alors appris à limiter leur sauts, restèrent toutes dans le pot et il n’était plus nécessaire de mettre un couvercle pour les garder à l’intérieur. Elles étaient conditionnées au fait qu’elles ne pouvaient pas sortir du bocal et ont accepté ce fait.

Maintenant, peu importe si le couvercle est présent ou non. Les puces vont rester dans le bocal pour toujours. En se reproduisant, les générations futures vont reproduire ce comportement et ne vont pas essayer de sauter plus haut.

Malheureusement nous avons nous aussi été limités avec différents bocaux et couvercles invisibles. Nos écoles nous ont appris leur vision de ce qui est bien et mal. Elles ont créé des boîtes mentales qu’il est rare et exceptionnel de pouvoir penser en dehors de cette « boîte ».

La société met différentes limites invisibles sur les gens et ces derniers finissent par croire que beaucoup de choses sont inaccessibles, impossibles et irréalistes. Les gens finissent par devenir de véritables victimes de couvercles imaginaires. A tel point qu’ils n’essaient même pas de sauter un peu plus haut et réussir.

Je crois vraiment que nous sommes beaucoup plus intelligents que les puces. Ne pensez pas aux limites sauf si vous souhaitez les dépasser. Pensez à toutes ces personnes qui ont sauté au dessus du pot et réalisé des choses exceptionnelles.

Laissez-vous inspirer par celles et ceux qui ont prouvé que les limites fixées ne sont pas réelles. N’acceptez pas tout ce qu’on vous a dit à l’école, à l’université ou au travail. Ne pensez pas que si la majorité des personnes autour de vous agissent de cette façon, vous devez en faire de même.

Sortez du bocal et dépassez ces limites inexistantes. Sauter plus haut et réussissez !
 […]  Lire la suite